Cette création, la dernière, propose ce que Zic Zazou n’a encore jamais tenté : grâce à la formule particulière et magique du florilège, Ze End, cette synthèse flâneuse en forme de mille-feuilles, trouve sur le plateau une expression nouvelle, qui dynamite la nostalgie, et met la focale sur le cœur de cette aventure, celle de musiciens qui se sont connus jeunes et qui se sont construits ensemble.
Leur boite de Pandore, leurs coffres à jouer et leurs tiroirs secrets débordent de musiques, d’images, d’humour, d’instruments bricolés, d’objets sonores, et de sketchs. En brassant les partitions sonores, les textes, les chorégraphies, les blagues musicales et les chansons, ils inventent un nouveau vocabulaire.
Chœur d’hommes tendres et virtuoses où chacun a sa voix et sa partie, Ze End, questionne et valorise la longévité de ce collectif prolifique.